mardi 11 octobre 2016

Le livre des Baltimores

Joel Dicker


Le rat dit (Quatrième de couverture )
Jusqu'au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l'auteur de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne. Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012, il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?


Editions : De Fallois Eds (2015)
ISBN :978-2877069472 


Le rat dote 
Voilà un deuxième roman de Joel Dicker. Quel bonheur de se replonger dans un roman de cet auteur, même si une petite angoisse existait. Ce roman serait-il à la hauteur de précédent ?  Et je peux répondre par oui, même si malgré tout j'ai préféré "L'affaire Harry Quebert".
On se retrouve dans ce roman dans une famille avec deux branches, une modeste et une très aisée et fascinante. De flaskback en révélations, on découvrira petit à petit les différents protagonistes de cette histoire. Et on pourra constaté durant tout le roman, que la vie qu'a vécu certain cousin n'est pas la même que celle vécue par un autre, ... Qui n'a jamais éprouvé de l'admiration pour des gens qui n'étaient admirables qu'en surfarce, qui n'a jamais envié la vie de quelqu'un d'autre en passant peut-être à côté de la sienne qui elle était peut-être celle qui valait vraiment le coup? Ce sont tous ces aspects du roman que j'ai adoré; les faux semblants les non dits, et la culpabilité.
A dévorer, mais attention une fois ouvert vous n'aurez qu'un envie ...savoir la fin

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire