mercredi 29 mars 2017

De la joie d'être bordélique

Jennifer McCartney

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Alexandra Maillard

Le rat dit (quatrième de couverture)
La magie du rangement a fait son temps. Faisons la peau à cette absurdité, et commençons à acheter plein de trucs, pour les semer partout où nous en avons envie !
Savez-vous que la science a prouvé que les personnes désordonnées sont plus créatives (et aussi plus intelligentes et plus séduisantes) ? Mais être un vrai bordélique et se laisser aller est un art ! Ce livre va vous apprendre comment vivre dans le bazar (en toute chose et de la cave au plafond), en pleine conscience et dans la joie. Et le résultat est époustouflant : vos plantes vont cesser de mourir, votre bouteille de whisky ne s’asséchera plus jamais, vous allez pouvoir vous lâcher, et vous découvrirez que vous avez perdu du poids…
Il est temps de reprendre votre vie en main et de la débarrasser de la manie du rangement.
Editions : Fayard (2017)



mardi 14 mars 2017

Le premier miracle

Gilles Legardinier


Le rat dit 
Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier.
Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est.
Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu.
Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger.
Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser.
Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner.
Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire…

Editions : Flammarion (2016)
ISBN : 978-2-0813-8378-4

samedi 11 mars 2017

Allez tous vous faire enculer

Mathieu Madénian

 Le rat dit (quatrième de couverture)
« Allez tous vous faire enculer. » On le pense souvent... Mathieu Madénian se lâche pour vous et dénonce, avec son sens aiguisé de la formule, plus de 1 000 personnes et petites choses du quotidien qui nous agacent un peu ou nous pourrissent carrément la vie : Les banquiers qui te demandent de leur faire confiance mais qui attachent leur stylo avec une petite chaîne. Les gens qui disent « lol » à l’oral au lieu de rire. Les gens qui n’en ont que pour une seconde. Les piétons qui traversent au rouge et qui te regardent en te faisant stop de la main : mec tu n’as pas de supers pouvoirs ! Je peux t’écraser si je veux !!! Le mec chez Facebook qui s'est dit que ce serait sympa de nous proposer notre ex en ami. Les pilotes d’Air France qui se rendent toujours compte qu’ils ont des revendications salariales pile le premier jour des départs en vacances.

Editions : First (2017)
ISBN :978-2-4120-1968-9

Fête des pères

Greg Olear

Traduit de l'anglais (américain) par Charles Bonnot 
Titre original : "Fathermucker" (2011)



Le rat dit
Être père, c’est échouer.
Sa femme partie en déplacement professionnel, Josh Lansky, scénariste, doit rester une semaine seul avec ses deux enfants en bas âge. Jusqu’à ce vendredi, il a réussi, tant bien que mal, à gérer l’essentiel : les petits sont toujours vivants, lui-même a survécu à Dora l’exploratrice, et n’a pas encore totalement pété les plombs. Mais lorsqu’il apprend par hasard que son épouse lui est peut-être infidèle, il ressent soudain le besoin urgent de faire une pause. Comme si c’était possible !

La pop culture a enseigné au hipster l’art de rester cool dans toutes les situations. Mais elle ne lui a pas appris que, dans certaines situations, il était impossible de rester cool. Ce qui se passe alors dans son esprit est ici merveilleusement décrit par Greg Olear, dont la férocité n’a d’égale que la drôlerie.

Ce roman diablement contemporain, qui n’est pas sans évoquer les livres de Nick Hornby, est réjouissant du début à la fin, avec ses multiples considérations sur la musique punk, l’écologie, Facebook, les manuels d’éducation, les effets dévastateurs des enfants sur la vie du couple, mais surtout sur la paternité. Si, comme l’écrit finalement Greg Olear, « Être père, c’est échouer », le naufrage est ici jubilatoire et incroyablement déculpabilisant.

Editions : Cherche midi(2017)
ISBN :
Nombre de pages : 432